La ville de M’Bahiakro est sous le choc après la découverte du corps d’une couturière au bord du fleuve N’zi le dimanche 17 février dernier.
Un drame secoue la ville de M’Bahiakro, en Côte d’Ivoire. Le corps sans vie d’une femme d’une trentaine d’années, identifiée sous les initiales D. S. D., a été retrouvé pendu au bord du fleuve N’zi le dimanche 17 février 2025.
Mère de quatre enfants et couturière de profession, la défunte avait quitté son domicile conjugal deux jours plus tôt, sans donner d’explication. Avant sa disparition, elle avait adressé un message troublant à sa fille aînée, lui demandant de veiller sur ses frères et sœurs.
Face à l’inquiétude de ses proches, des recherches avaient été immédiatement engagées par la famille et les autorités locales. Malheureusement, l’issue a été tragique. La découverte du corps de la jeune femme a plongé la communauté de M’Bahiakro dans la stupeur et l’incompréhension.
Pour l’heure, les circonstances exactes de ce drame restent floues. Une enquête a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les raisons qui ont pu conduire la victime à commettre l’irréparable.
Après les constats effectués par la brigade de gendarmerie et les services de santé, le corps a été pris en charge par les pompes funèbres en vue de son inhumation.
Dans la ville, l’émotion est vive. Famille, proches et habitants cherchent à comprendre ce qui a pu pousser cette mère de famille à un tel acte. Un drame qui relance, une fois de plus, la question du mal-être et des détresses silencieuses au sein des communautés.